En période de pandémie, l’organisme doit « sur-utiliser » de son potentiel d’adaptation.
Hans SEYLE, pionnier de la recherche sur le stress, a appelé cela le syndrome général d’adaptation (SGA).
Au delà d’une organisation de travail adaptée, de liens professionnels et personnels dynamisants, d’une belle hygiène de vie, un regard peut être porté sur l’intérêt des neuromédiateurs puisqu’ils véhiculent, dans le corps, la vitalité.
La dopamine : pour démarrer le matin.
La sérotonine : agit comme un frein, c’est l’hormone de la sérénité.
Et vous quel est votre profil ?